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Projection: 69
Nous vous invitons le mercredi 28 mai à 20h30 à la projection de « 69 » au Caracole-Neur, 260 chaussée de louvain à Bouge (Namur).
Film danois de Nikolaj Viborg, 2008. « 69 » raconte « de l’intérieur » les derniers mois du squat Ungdomshuset (littéralement « la maison des jeunes » en Danois) à Copenhague. Cette « maison des jeunes », occupée par des activistes depuis 1982, fait office de salle de concert autogérée et de centre politique et social. Devant l’intransigeance de la mairie de Copenhague qui souhaite revendre le bâtiment à un groupe fondamentaliste religieux, la résistance s’organise et les manifestations de solidarité se multiplient dans toute la ville à la fin de l’année 2006. Les habitant-E-s font preuve d’une énergie et d’une inventivité exceptionnelle pour défendre leur lieu. Pourtant, avec des moyens démesurés, les forces anti-terroristes expulsent les jeunes le 1er mars 2007. S’ensuivront des émeutes d’une intensité jamais encore observée au Danemark. Ungdomshuset deviendra le symbole du refus du tournant conservateur de la politique danoise, et un exemple de ténacité dans la révolte, redonnant un élan aux espaces autogérés et aux luttes qu’ils portent au-delà des frontières. Comme l’indique une habitante de la maison de la jeunesse : « Les figures politiques ont déclaré qu’il y avait deux groupes dans cette maison. Un qui organise des concerts et un autre habillé en noir dans la cave en train d’attendre le moment pour se battre avec la police. Il n’y a pas deux groupes différents à la maison de la jeunesse. Il y a un grand groupe de jeunes, créatifs et plein de ressources qui vit pour créer un principe culturel dont tout le monde peut bénéficier. D’autres n’ont pas à se justifier de cette façon. Pourquoi y a-t-il de la place pour un opéra mais pas pour une scène punk ? Pourquoi y a-t-il de la place pour les agents immobiliers, alors que personne ne peut se permettre d’acheter leur maison ? Pourquoi y a-t-il de la place pour une chaîne de fast-food mais pas pour notre restaurant ? Pourquoi y a-t-il de la place pour les riches mais pas pour les pauvres ? Ce soir, réfléchissons à quel genre de ville nous voulons. Bonne année. »
Projection : Kashima Paradise
Nous vous invitons à la projection de « Kashima Paradise » ce 21 mai à 20h30 au Caracole-neur, 260 chaussée de louvain à Bouge.
« Dans les années 70, le Japon paysan et féodal se transforme brutalement sous l’effet de la révolution industrielle. Kashima, le plus grand combinat sidérurgique et pétrochimique s’installe en pleine campagne et déverse ses déchets toxiques dans la nature. Les paysans du village voisin, tels Zenzaemon, se transforment en ouvriers, asservis par l’usine et souffrent de diverses maladies déformantes dus à la pollution. Pourtant aucune rébellion ne s’organise, tant le code social, le Giri, fondé sur le rapport « père/enfant », le culte de l’obéissance et de l’obligation qui régissent toute la société, ne laisse aucune place à la contestation. Pourtant à Narita, où doit se construire un aéroport permettant de desservir l’usine, les paysans ont opposé aux industriels une résistance musclée, soutenus par des activistes marxistes. Zenzaemon, et d’autres prennent conscience qu’ils appartiennent à une classe sociale, opprimée, et qu’une action est possible… »
Pique-nique au square Léopold le 10.05
Pour montrer notre opposition au projet d’abattage des arbres au parc Léopold à Namur,
rassemblons nous le 10 mai pour un grand pique-nique solidaire.
Namurois, dites-le que vous voulez des arbres et pas du béton !!!
Amenez vos nappes à carreaux, vos baguettes, vos saucissons vegans et de la bonne humeur.RDV ce samedi 10 mai à 12h00 au square Léopold.
Projection : Panther
Ce jeudi 8 mai, nous vous invitons à assister à la projection du film Panther à 20h30 au Caracole-neur 260 Chaussée de Louvain à Bouge.
En 1966, a Oakland, en Californie, Boby Seale et Huey P. Newton fondent les Black Panther Party. Ce film raconte la genèse du mouvement d’émancipation des Noirs américains et leur lutte contre la police californienne, à la manière d’un film d’action.
Action patatiste a Namur (Naninne) 17 avril
Ce 17 avril c’est en tout une cinquantaine de bêcheurs désobéissant (sur toute la journée) qui ont défié la propriété et le zoning
en venant planté des patates (mais aussi des fleurs):).
Le début a été laborieux, peu de personnes presente et peu d’outils de disponible.
Le jardin c’est pourtant tres vite dessiner, a la liberté de chacun, et est partis en une multidude de spirales, de symbole anar et meme
quelques slogan anti zoning. Aussi, le chataigner planté un an plus tot a été retrouvé arraché dans un tat de gravat et a été replanté sur la parcelle des patates
Les renfort sont tres vite arrivée, quelques villageois,agé et tres jeune, « amateurs » et quelques maraichers et fermiers.
A grand coup de houe, et jusque plus ou moins 13h, c’est en tout plus de 50kg de patates qui ont été planté sous le regard de deux ou trois flics en civil.
Les amis de la terre sont venus aussi déposé un bac de culture sur le coin de la parcelle.
On pouvait lire sur les banderoles des messages de solidarité avec les paysans en lutte mais aussi un message de solidarité avec la lutte anti zoning de courcelles.
UN militant du parti vega a tenté de venir faire de la récupération, mais na pas eu tres grand succes (et na pas donné un seul coup de houe).
Les patatiste quand a eux, ont recu du soutien des passants et des voisins.
Dailleurs depuis le jardin du chataigner empoisonné a deja grandi un peu, et se n’est qu’un début.
Tous le monde peut désormais se réaproprié cet espace commun pour y faire fructifier ces projets! La luttes continue, vive les patatistes !
Liens video : https://vimeo.com/92551561
Reportage photo plus complet sur facebook : les autres amis de la terre
Tentative d’incendie au Caracole…
Pendant la nuit du 12 au 13 avril vers 3h30 du matin au Caracole-neur squat autogéré à namur, on a été réveillé par le bruit de quelqu’un qui tapait sur la porte , l’un de nous s’est levé et a aperçu le dessous de la porte en feu, beaucoup de fumée ainsi qu’une forte odeur d’essence. La personne qui tapait sur la porte avait vu 2 autres personnes mettrent le feu sous notre porte et est venue éteindre le feu et nous prevenir de ce qui se passait. Il a appelé les pompiers et la police qui sont venu constaté peu de temps après.
Nous suspectons l’extrême-droite d’être à l’origine de cet incendie. Nous nous étions déjà fait arraché des banderoles (notament une banderole en solidarité avec les squatteurs de calais) dans les semaines passées et nous avons aussi déjà aperçu des membres de NATION tournant en voiture en klaxonant devant chez nous.
Des faits similaires se sont déjà produits à Namur, en 2012 plusieurs squats ont brûlé dans des circonstances peu claires et plus récemment en mars un incendie criminel a ravagé un batiment squaté à saint-servais…
Projection « La ferme des animaux »
Nous vous invitons à une projection ce mercredi 16 avril à 20h30 au Caracole-neur (260 Chaussée de Louvain à Bouge (Namur) ) de l’adaptation en long-métrage d’animation du roman de George Orwell « La ferme des animaux ».
Les animaux d’une ferme sont opprimés par un fermier brutal et stupide, John, dont la ressemblance avec le tsar Nicolas II est volontaire. Lorsqu’un vieux cochon, Sage l’Ancien — métaphore pour Karl Marx ou Lénine —, leur fait prendre conscience de leur aliénation. Ils se rebellent alors, chassent le fermier et créent une société égalitaire, gouvernée par les plus malins d’entre eux, les cochons. À leur tête, Boule de Suif (Trotsky) et César (Staline) édictent de nouvelles lois peintes sur les murs de la grange, en particulier ce commandement révolutionnaire : « Tous les animaux sont égaux ». Les premiers résultats sont encourageants, avec de bonnes récoltes et un projet de construction de moulins à vent pour générer de l’électricité.
Mais César évince bientôt Boule de Suif et le fait exécuter sans procès par ses chiens (symbolisant le KGB) et s’empare du pouvoir. Les cochons — seuls animaux parlants — bénéficient d’un régime de faveur et portent des costumes, tandis que les tentatives de résistance sont aussitôt réprimées. Par exemple, dans une scène mémorable qui ne manque pas d’évoquer les purges staliniennes, les poules sont contraintes d’avouer leurs crimes, puis exécutées. La ferme est désormais entourée de fils de fer barbelés et une véritable dictature se met en place. Il est clair que les fomenteurs de la révolution ont trahi leurs idéaux : on ne les distingue plus des tyrans qu’ils ont renversés. Une nouvelle inscription apparaît sur le mur : « Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres ». La révolte gronde et gagne les fermes voisines…
Cette version atténue la virulence du roman, mais lui reste assez fidèle à l’exception de l’épilogue. Chez Orwell les animaux épuisés et désespérés assistent impuissants au festin des cochons avec leurs associés humains, alors qu’ici, aidés par les animaux de fermes avoisinantes, ils se révoltent avec succès contre les cochons. Cette dernière est cependant pleinement justifiée étant donné que Staline est mort durant la production du film.
Projection du film Bouh! (squat des 400 Couverts)
Nous vous invitons à la projection du film « Bouh! » ce jeudi 3 avril à 20h30.
À Grenoble, de 2001 à 2005, une traverse entière a été squattée : plusieurs maisons d’habitation, une salle publique, des ateliers et plein de folies, d’humour, de galères, de collectifs, de colères, d’expérimentations…
Ce film, manigancé par 4 anciennes habitantes du squat est basé sur des recherches archéologiques approfondies, des traces éparses recueillies au fond de divers placards, de tiroirs mal refermés et de poches percées…
Nos histoires, nos luttes, sont précieuses, invisibles et trop souvent étouffées.
Racontons-les.
Atelier Peinture ce dimanche 30 mars a.p.d. 18h30.
Vous êtes vivement invités au premier ATELIER PEINTURE du Caracole Neur ce dimanche 30 mars à partir de 18h. L’idée c’est de faire comme une session jam sauf qu’à la place de jouer de la musique on dessine, on peint, on écrit… On crée ce qu’on veut quoi 🙂
Il y a un peu de matos sur place mais prenez vos banderoles, vos crayons et vos outils de création.
Ci-dessus une œuvre de Jules Grandjouan, un dessinateur, peintre, affichiste et syndicaliste révolutionnaire libertaire.
Projection « La voix du vent » + Bouffe prix libre
Vous êtes chaleureusement conviés à la projection du film La voix du vent
ce mercredi 19 mars vers 20H30 au Caracole 260 chaussée de Louvain, projection
précédé d’une bouffe prix libre au alentours de 19H.
Vous pouvez nous envoyer un mail au caracole-neur@riseup.net
« La voix du vent – semences de transition »
Jean Luc Danneyrolles, agriculteur de Provence et Carlos Pons, realisateur
Espagnol, entreprennent un voyage vers Grenade à la rencontre du mouvement
social alternatif, entre agro-ecologie et changement de paradigme. Ils
engagent un cameraman et partent lors des grands froids de février 2012, avec
pour tout moyen d’échange et seule richesse : des semences paysannes.Le témoignage d’un mouvement qui prend de l’ampleur……..Un autre monde est
possible, ici et maintenant.21 jours de voyage
35 Projects visités
plus de 200 personnes rencontrées
9 parcs naturels traversés –