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Le Caracole est MORT!!

  • juin 28, 2015 19:20

Suite à de récents articles paru dans l’avenir ainsi que dans la Meuse, il nous a semblé important de mettre certaines choses au clair:

Le collectif Caracole-Neur s’est dissout au moment où le squat de Bouge a été expulsé.

L’occupation à Saint-Servais ni aucune futures occupations qui pourraient avoir lieu à Namur ne sont l’œuvre du collectif!

AUCUNE action qu’elle qu’elle soit n’a été réalisé par le collectif depuis l’expulsion!! Surtout PAS une action impliquant des cadavres de poissons… Et cela même si visiblement des tracts « ripostes à la crises du logements » ont étés distribués.

En bref:

LE CARACOLE EST MORT!

Urgent: Besoin de soutien, le caracole est expulsable dès demain

  • octobre 20, 2014 17:13

Nous avons reçu aujourd’hui la toujours désagréable visite d’un huissier qui est venu nous apporter un avis du tribunal nous ordonnant de déguerpir pour demain.

Nous avons donc besoin de soutien dès ce soir pour l’expulsion plausible de demain.
Venez nombreux au Caracole-neur, 260 Chaussée de Louvain à Bouges !

Action contre ORES et les coupures…

  • octobre 4, 2014 21:39

Ce mercredi 1 octobre presque une semaine après que la société ORES soit venus coupé l’électricité au Caracole-Neur à grand renforts de flics a eu lieu une action contre ORES et ses coupures,limitateurs, compteurs à budgets…

Le groupe à d’abord débarqué dans les bureaux d’ORES avec une banderole en distribuant des tracts et en gueulant le tract et des slogans au mégaphone.

Les gens sont ensuite sorti devant les bureaux pour être plus visible de l’extérieur.

Après avoir un peu perturbé le morne quotidien du travail de ceux qui privent les pauvres d’électricités, le groupe a décidé de rejoindre le centre-ville en manif sauvage tout en continuant à distribuer des tracts et à gueuler.

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Le texte du tract

Avec ORES pas besoin de blackout nucléaire,
on vous coupe tout avant l’hiver !

Ce 24 septembre, au portes de l’hiver, la compagnie ORES, assisté des sbires de l’état autoritaires, sont venus nous couper l’électricité et arracher la totalité de notre panneau électrique dans le squat que nous occupons depuis février, situé chaussée de louvain 260, le Caracole Neur.

Et il n’y a pas que dans les squats que ORES agit de la sorte. En 2011 par exemples c’est plus de 6000 coupures qui ont été effectué sans considération d’une période hivernale. Et on peut y ajouter tout les compteurs à cartes, limitateur à 2200W…

Dans le même temps les compagnies électriques menacent d’un black-out sur la Belgique, délimité en zone prioritaire. Mais une chose est sur, l’énergie ne sera jamais rationnée pour les usines et ne sera jamais partagé avec ceux dans le besoins ! Seul compte le profit !
D’ailleurs l’énergie a un propriétaire. Aussi peut on vous accuser de « vol d’énergie ».

Mais qui vole qui ?

Electrabel a payé en 2010 35 millions d’euros d’impôts sur un bénéfice de 808 millions d’euros, ce qui correspond à un taux d’imposition de 4,33%, rapporte De Morgen sur base des comptes annuels que l’entreprise énergétique a publié.
On savait déjà qu’Electrabel bénéficiait d’un taux d’imposition bas: en 2008, elle avait retouché 94 millions d’euros de l’Etat belge. En 2009, le taux d’imposition était d’à peine 0,04%, avec un prélèvement d’un demi-million d’euros sur un bénéfice d’un demi-milliard d’euros. Le taux de base de l’impôt des sociétés s’élève à 33,99% en Belgique.

L’uranium n’est certainement pas extrait par le PDG de SUEZ et les déchets radioactifs ne sont sûrement pas enfuit dans le jardin de leurs actionnaires.
Et quand chaque année les compagnies spécules sur les quantité produit, quand les prix ne font que grimper alors que de plus en plus de gens se retrouve dans la précarité ?

Devons nous nous laisser faire ?

NON !
Multiplions les actes de résistance contre les coupures électricité !

Solidarité. Parce-que ensemble on est plus fort !
En Grèce, par exemple, le syndicat des électriciens a refusé de continuer à effectuer les coupures d’électricité et a occupé le centre informatique de la compagnie d’électricité d’où partent les factures. Parallèlement à cela, en septembre 2011, un petit groupe d’habitants de Veria (nord de la Grèce) a décidé de rebrancher approvisionnement en électricité d’un certain nombre de maisons qui avaient été déconnectés du réseau parce qu’ils n’arrivaient plus à payer leurs factures.
Boycotte des factures électriques !

Grosse intervention policière et arrestations pour couper l’élec au Caracole !

  • septembre 26, 2014 12:05

Un petit retour sur les événements d’aujourd’hui au Caracole-Neur, lieu occupé à Namur.

Ce matin, deux travailleurs d’ORES sont venus toquer à la porte du Caracole. Ils voulaient voir le compteur. Les occupants n’ont pas voulu leur ouvrir la porte. Suite à cela ils nous ont menacés de venir couper l’électricité mais ils ont été vite refroidis par un déluge d’eau.

Ils ont ensuite appelé les pompiers qui eux même ont appelé la police.

Et là arrivèrent 1 combi, puis 2, puis 3, puis le G.I.S (aussi appelé Delta à Namur)…

Ces sales flics ont ensuite bloqué la circulation de la chaussée de Louvain (Un des plus gros axes de Namur, permettant notamment de rejoindre l’autoroute vers Bruxelles ), tenté de repousser les nombreux badauds sans succès, puis ont lancé l’assaut. Ils ont également arrêté des gens venus en soutien.

5 bolosses armées de flash ball (2 fn303) et d’un bélier ont alors commencé à défoncer la porte. Ils en sont venus rapidement à bout puis ont sorti et arrêté d’abord les occupants qui étaient restés dans la maison puis les 2 qui étaient monté sur le toit.

Les occupants et leurs soutiens sont resté en garde-à-vue pendant quelques heures et sont convoqué au commissariat de Namur en octobre.

Maintenant le Caracole est de nouveau occupé !

Projection du mois de septembre

  • septembre 2, 2014 23:03
Nous avons le plaisir de vous inviter chaque mercredi à 20h30 au Caracole-
Neur, 260 Chaussée de louvain à Namur, pour des projections de qualité!



Mercredi 10 Septembre:

Zéro de conduite
Les vacances se terminent et il est temps pour quelques garçons de revenir au
collège, un lieu sans joie où les professeurs, des adultes obtus, leur
infligent des punitions sévères et les privent de liberté et de créativité.
Quatre d'entre eux, punis avec un « zéro » de conduite, décident de se
rebeller, avec la complicité d'un nouveau surveillant, Huguet (Jean Dasté),
plus proche de la mentalité des jeunes que de celle, rigide, des autres
adultes.




Mercredi 17 Septembre: Le Sel de la terre


Dans les années 50, dans une ville du Nouveau Mexique, la communauté mexicaine
se révolte : les hommes exigent des salaires égaux à celui des blancs et des
conditions de travail décentes, et se mettent en grève, tandis que les femmes
se battent pour l’installation de l’eau courante dans les maisons, afin
qu’elles n’aient plus à couper du bois pour se chauffer.
Mais les autorités locales finissent par interdire aux hommes de continuer les
piquets de grève. Les femmes prennent alors la relève, d’abord en solidarité
avec les hommes, puis pour se défendre face au machisme qu’elles doivent
affronter tous les jours.

Réalisé en 1953 par des personnes sur les listes noires du maccartysme, le
film ne put sortir qu’en 1965. Tourné avec des mineurs ayant réellement
participé à une grève.


Mercredi 24 Septembre: Tongues Untied

C’est à travers la poésie, le témoignage personnel, le slam et la performance
que Tongues Untied décrit l’homophobie et le racisme auxquels sont confrontés
les noirs gays. « Mon combat m’a permis de dépasser ce sentiment de honte et
la stigmatisation liée à mon identité d’homme gay noir. Maintenant que j’ai
franchi cet obstacle, ils ne peuvent plus m’atteindre » ( Marlon T. Riggs).

Briser le silence. Affirmer l’indiscible contre les siens et contre les
autres : aimer d’autres hommes noirs quand on est un homme noir. Comme un acte
révolutionnaire. Au rythme des slams d’Essex Hemphills, tisser la toile entre
la lutte pour les droits civiques et l’activisme SIDA. Agir. Se penser, se
danser, voguer et s’affranchir. SNAP. Que l’on soit Diva ou macho. SNAP. Un
récit biographique, poétique et musical exceptionnel entre documentaire et
performance.

Concert au caracole le 12 septembre!

  • août 28, 2014 20:59

Nous avons le plaisir de vous annoncer le 2eme concert au Caracole-Neur (260 Chaussée de Louvain à Namur) le vendredi 12 septembre à partir de 19h.

Au programme frites bien huileuses accompagnées d’une multitude de sauces, bières maisons ainsi que:

  • Sick State (Punk/Namur)
  • Leper house (Trashcore/Moustier)
  • Dans Ta Gueule (Punk Hardcore/Bruxelles)

Prix libre!

Plus d’infos bientôt…

Venez nombreux!

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Premier bac de culture au Caracole Neur

  • août 12, 2014 20:33

bac de culture

Ce n’est qu’un début… ! Si vous voulez en construire d’autres avec nous, n’hésitez pas à nous écrire à caracole-neur@riseup.net pour qu’on fixe une date d’ateliers. Si jamais voici le mode d’emploi pour les construire à partir de palettes.

Projections gratuites et trop swags du mois d’août 2014

  • août 12, 2014 20:15

Comme tous les mercredis à 20h30 au Caracole Neur (260 Chaussée de Louvain à Namur).
Pour les trois dernières semaines d’août nous vous proposons :

  • Le 13.08 : Sacco e Vanzetti

New York, 1920. Deux Italiens, Nicolas Sacco, cordonnier, et Bartolomeo Vanzetti, marchand de poissons anarchiste, sont arrêtés et accusés du meurtre de deux hommes commis au cours d’un hold-up. Fred Moore, leur avocat, démontre leur innocence mais le procureur et le juge développent une argumentation imprégnée de xénophobie et de paranoïa antibolchevique. Le jury condamne à mort les deux Italiens.

  • Le 20.08 : Hunger

Spoil :

En 1981, les séparatistes de l’Armée républicaine irlandaise provisoire (PIRA) mènent une grève de l’hygiène à la prison de Maze en Irlande du Nord. Cette action a pour but de faire reconnaître par le gouvernement britannique un statut politique à leur détention. Le rapport de force qui s’instaure s’accentue encore quand Bobby Sands, meneur du mouvement décide d’entamer une grève de la faim.

  • Le 27.08 : QHS et rébellion et Disregarding the law

En juin 2008, un module d’isolement ouvrait dans la prison de Bruges, Belgique. C’était la réponse de l’État face aux multiples rébellions, évasions et émeutes qui avaient echauffée bien des coeurs à l’intérieur qu’à l’extérieur de la prison. Le quartier de haute sécurité (QHS) : dix cellules individuelles contenant le strict minimum, deux cachots, une quarantaine de matons et des ‘blouses blanches’ — médecins, psychiatres, psychologues, infirmiers. Le but : briser les détenus récalcitrants. L’État y impose un régime sévère, utilisant la torture physique et mentale, administrant drogues légales et injections. Les détenus y sont enfermés de quelques mois à un an (voire plus) pour briser tout esprit rebelle, faire avaler les fables du ‘bon chemin’ et de la bonne conduite et éviter les rébellions possiblement contagieuses en écartant les soi-disant meneurs.
Nous voulons rappeler la résistance de l’intérieur que ce lieu infect a connu depuis ses débuts et, à la fois, encourager une lutte contre l’isolement, partie intégrante d’une lutte plus globale contre la prison et les différentes formes d’oppression et de privation de liberté. Une lutte qui ne se réduit pas à demander des améliorations du régime pénitentiaire, qui ne demande rien à un État mettant tout en oeuvre pour maintenir les rapports sociaux d’oppression et éteindre les feux de la révolte.
Aujourd’hui, la résistance dans les prisons se situe toujours sur le fil du rasoir. Le désir de liberté ne se laisse pas facilement contrecarrer. Des évasions toujours plus violentes sont la réponse aux mesures de sécurité croissantes, la violence contre les matons répond à l’arrogance de ceux qui se cachent derrière la toute-puissance de leurs syndicats. Une violence qui se dirige clairement contre l’oppresseur et qui reste, après tout, relative dans le contexte de l’enfermement et des humiliations quotidiennes.
Le court-métrage esquisse le module d’isolement dans la prison de Bruges, dans le contexte de la révolte à l’intérieur et à l’extérieur des prisons.

Disregarding the law est un court documentaire abordant la question de la répression en Biélorussie.

 

>>> Nous rappelons également que comme tous les mercredis le magasin gratuit est ouvert de 16h à 21h.  Prenez-y  ce qui vous intéresse – tout est gratuit – et si vous avez des objets à jeter et qui peuvent encore servir n’hésitez pas à les donner au magasin gratuit.

 

Projection d’END : CIV ce mercredi 6/08 à 20h30 au Caracole Neur

  • août 2, 2014 15:00

 

Comme tous les mercredis nous vous invitons à une petite projection d’un film ou d’un documentaire militant. Ce mercredi nous vous proposons de mater le documentaire « END : CIV Resist or Die » de Franklin Lopez.

  END :CIV examine notre culture de dépendance à la violence systémique et à l’exploitation environnementale et enquête sur l’épidémie résultant des sites contaminés et des nations en état de choc. Basé en partie sur Endgame, le livre au succès retentissant écrit par Derrick Jensen, END :CIV questionne : «Si ton pays se faisait envahir par des extraterrestres qui coupent des forêts, qui empoisonnent l’eau et l’air et contaminent les réserves de nourriture, résisterais-tu?»

Les vraies causes de l’effondrement de la civilisation sont habituellement dues à la surutilisation des ressources. Pendant que ces mots sont écrits, le monde est en train d’agoniser sous le chaos économique, le pic pétrolier, le changement climatique, la dégradation de l’environnement et l’agitation politique. Tous les jours, les manchettes remanient les histoires de scandales et de trahison de la confiance du peuple. Nous n’avons pas à faire des demandes indignées pour la fin de ce système mondial actuel : il semble déjà se désagréger.

Par contre, des actes de courage, de compassion et d’altruisme abondent, même dans les endroits les plus affectés. En documentant d’une part, la résistance de ceux et celles qui sont le plus touché-e-s par la guerre et la répression, et d’autre part, l’héroïsme de ceux et celles qui vont de l’avant pour confronter la crise la tête haute, END :CIV offre une avenue pour sortir de cette folie dévorante et aller vers un avenir plus sain.

SOURCE : http://submedia.tv/endciv/2011/04/30/endciv-francaise/

Permanence magasin gratuit/infokiosque/bibliothèque

  • juillet 28, 2014 14:33

Nous vous invitons tous les mercredis entre 16h et 19h au Caracole-Neur (260 Chaussée de Louvain) à venir amener/prendre ce que vous voulez dans le magasin gratuit, prendre des brochures dans l’infokiosque et consulter/emprunter des livres dans la bibliothèque  !

 

  • Un magasin gratuit, une zone de gratuité ou un free shop est un magasin où les biens sont gratuits. Le free shop vit grâce à tous et des biens donnés ou récupérés. Le principe est : « donne qui veut, prend qui veut », sans lien nécessaire entre les deux.