Archives for mai, 2014
Soirée frites et bières de pissenlits
Nous vous invitons à goûter la bonne bière de pissenlits et les bonnes frites du Caracole-neur au 260 chaussée de louvain à Bouge (Namur) le samedi 31 mai à partir de 19h! Surprises à venir…
N’hésiter pas à amener vos instruments!
Projection: Ne vivons plus comme des esclaves
Nous vous invitons le mercredi 4 juin à 20h30 au Caracole-neur 260 chaussée de louvain à la projection de « Ne vivons plus comme des esclaves ».
« Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na min zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée. »
Projection: 69
Nous vous invitons le mercredi 28 mai à 20h30 à la projection de « 69 » au Caracole-Neur, 260 chaussée de louvain à Bouge (Namur).
Film danois de Nikolaj Viborg, 2008. « 69 » raconte « de l’intérieur » les derniers mois du squat Ungdomshuset (littéralement « la maison des jeunes » en Danois) à Copenhague. Cette « maison des jeunes », occupée par des activistes depuis 1982, fait office de salle de concert autogérée et de centre politique et social. Devant l’intransigeance de la mairie de Copenhague qui souhaite revendre le bâtiment à un groupe fondamentaliste religieux, la résistance s’organise et les manifestations de solidarité se multiplient dans toute la ville à la fin de l’année 2006. Les habitant-E-s font preuve d’une énergie et d’une inventivité exceptionnelle pour défendre leur lieu. Pourtant, avec des moyens démesurés, les forces anti-terroristes expulsent les jeunes le 1er mars 2007. S’ensuivront des émeutes d’une intensité jamais encore observée au Danemark. Ungdomshuset deviendra le symbole du refus du tournant conservateur de la politique danoise, et un exemple de ténacité dans la révolte, redonnant un élan aux espaces autogérés et aux luttes qu’ils portent au-delà des frontières. Comme l’indique une habitante de la maison de la jeunesse : « Les figures politiques ont déclaré qu’il y avait deux groupes dans cette maison. Un qui organise des concerts et un autre habillé en noir dans la cave en train d’attendre le moment pour se battre avec la police. Il n’y a pas deux groupes différents à la maison de la jeunesse. Il y a un grand groupe de jeunes, créatifs et plein de ressources qui vit pour créer un principe culturel dont tout le monde peut bénéficier. D’autres n’ont pas à se justifier de cette façon. Pourquoi y a-t-il de la place pour un opéra mais pas pour une scène punk ? Pourquoi y a-t-il de la place pour les agents immobiliers, alors que personne ne peut se permettre d’acheter leur maison ? Pourquoi y a-t-il de la place pour une chaîne de fast-food mais pas pour notre restaurant ? Pourquoi y a-t-il de la place pour les riches mais pas pour les pauvres ? Ce soir, réfléchissons à quel genre de ville nous voulons. Bonne année. »
Projection : Kashima Paradise
Nous vous invitons à la projection de « Kashima Paradise » ce 21 mai à 20h30 au Caracole-neur, 260 chaussée de louvain à Bouge.
« Dans les années 70, le Japon paysan et féodal se transforme brutalement sous l’effet de la révolution industrielle. Kashima, le plus grand combinat sidérurgique et pétrochimique s’installe en pleine campagne et déverse ses déchets toxiques dans la nature. Les paysans du village voisin, tels Zenzaemon, se transforment en ouvriers, asservis par l’usine et souffrent de diverses maladies déformantes dus à la pollution. Pourtant aucune rébellion ne s’organise, tant le code social, le Giri, fondé sur le rapport « père/enfant », le culte de l’obéissance et de l’obligation qui régissent toute la société, ne laisse aucune place à la contestation. Pourtant à Narita, où doit se construire un aéroport permettant de desservir l’usine, les paysans ont opposé aux industriels une résistance musclée, soutenus par des activistes marxistes. Zenzaemon, et d’autres prennent conscience qu’ils appartiennent à une classe sociale, opprimée, et qu’une action est possible… »
Pique-nique au square Léopold le 10.05
Pour montrer notre opposition au projet d’abattage des arbres au parc Léopold à Namur,
rassemblons nous le 10 mai pour un grand pique-nique solidaire.
Namurois, dites-le que vous voulez des arbres et pas du béton !!!
Amenez vos nappes à carreaux, vos baguettes, vos saucissons vegans et de la bonne humeur.RDV ce samedi 10 mai à 12h00 au square Léopold.
Projection : Panther
Ce jeudi 8 mai, nous vous invitons à assister à la projection du film Panther à 20h30 au Caracole-neur 260 Chaussée de Louvain à Bouge.
En 1966, a Oakland, en Californie, Boby Seale et Huey P. Newton fondent les Black Panther Party. Ce film raconte la genèse du mouvement d’émancipation des Noirs américains et leur lutte contre la police californienne, à la manière d’un film d’action.