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Projection « Illégal » Le 30 juillet à 20h30
Nous vous invitons à la projection du film “Illégal″ au Caracole Neur 260 chaussée de louvain.
Synopsis:
« Tania et Ivan, son fils de 14 ans, sont russes et vivent clandestinement en Belgique depuis huit ans. Sans cesse sur le qui-vive, Tania redoute les contrôles de police jusqu’au jour où elle est arrêtée.
La mère et le fils sont séparés. Tania est placée dans un centre de rétention. Elle fera tout pour retrouver son fils mais n’échappera pas pour autant aux menaces d’expulsion. »
Journée d’activités + concert le 25 Juillet (MAJ- 22/07)
Nous vous invitons ce 25 juillet à une journée d’activités et à l’inauguration du free-shop du Caracole Neur (260 Chaussée de Louvain).
Au programme :
- Un piquenique/auberge espagnole à partir de 12h. N’hésitez pas à ramener un peu de bouffe!
- Un atelier lampion (en aprèm’) (on va apprendre à fabriquer des lampions nous même en vue d’un grand bal aux lampions!)
- Un atelier bacs de cultures. Si vous pouvez prendre avec vous des outils (marteau,clou…) et/ ou des plantes et des semis ce serait top !)
- Un atelier brassage de Frênette
- Inauguration du free-shop (Ramenez y/prenez y ce que vous voulez)
- Des discussions (plus d’infos bientôt)
- Un concert ( Chomeuse Go On + Roubrak+Lesnenfantsperdus)
- JAM
Plus de précisions très bientôt!
Projection docu-fiction: Hiver 60 le 9 juillet à 20h30
Nous vous invitons à la projection du film « hiver 60 » au Caracole Neur 260 chaussée de louvain.
Synopsis:
En 1960, l’annonce des mesures de régression sociale décidées par le gouvernement belge déclenchent une grève sauvage des travailleurs. Albert et Fred sont aux premiers rangs d’une lutte qui promet d’être chaude et hasardeuse. La grande grève wallonne va alors ébranler la Belgique au plus profond d’elle-même. Violences, manifestations, internationales, drapeaux rouges, drapeaux wallons. Pendant cinq semaines, le pays sera paralysé par un mouvement qui se donnera souvent des airs d’insurrection.
Projection: Regarde, elle a les yeux grands ouverts
Nous vous invitons à la projection de « Regarde, elle a les yeux grands ouverts » à 20h30 au Caracole-neur, 260 Chaussée de Louvain.
« Ce documentaire exceptionnel relate l’expérience vécue par des femmes du MLAC (association féministe fondée en 1973 et luttant pour le droit à l’avortement et la contraception) d’Aix en Provence, inculpées et jugées pour avoir pratiqué elles-mêmes des avortements (procès du 10 mars 1977). Leur lutte consistait non seulement à pratiquer des avortements, mais aussi des accouchements à domicile. Ces femmes militaient pour que l’accouchement et l’avortement soient contrôlés et voulus par les femmes elles-mêmes. En arrière-plan de la lutte, s’inscrit une partie de la vie à la « Commune », une communauté près d’Aix. »
Grosse teuf pirate sapin frits le 27 juin!
Salut tout le monde!
Pour fêter l’arrivée de notre nouvelle bière de sapin (authentique recette de pirate!) dans la douce et graisseuse ambiance d’une frite-party caracolaise, nous vous invitons à une grosse teuf (rien que ça !) le vendredi 27 Juin à partir de 19h. Si vous avez un groupe qui peut jouer avec peu de matos ou en accoustique, vous êtes également les bienvenus et vous pouvez nous contacter par mail pour jouer à la soirée.
N’hésitez pas à ramener vos instruments, vos potes et votre mémé insurrectionaliste!
Lancement d’une micro bibliothèque au Caracole.
Salut !
On a le plaisir de vous annoncer le lancement d’un petite bibliothèque. Ci dessous la liste des ouvrages qu’on a à vous prêter, gratuitement bien sûr :
Anthologie de l’anarchisme de Daniel Guérin.
Dieu et l’Etat de Michel Bakounine.
L’insurrection qui vient du comité invisible.
Petit cours d’autodéfense intellectuelle de Normand Baillargeon.
L’ordre moins le pouvoir de Normand Baillargeon.
La désobéissance civile de Thoreau.
La Vie sans principe de Thoreau.
Manifeste du parti communiste de Marx et Engels.
le Marxisme de Marx de Raymond Aron.
Les dépossédés de Daniel Bensaid.
Manifeste de l’Anarchie d’Anselme Bellarigue.
La révolte des Canuts (1831-1834) de Fernand Rude.
La guerre d’Espagne d’Anthony Beevor.
La rébellion de Krondsradt 1921 d’Alexander Berkman et Emma Goldman.
Gomorra de Roberto Saviano.
Outsiders d’Howard S. Becker.
La révolution sexuelle et la camaraderie amoureuse d’E. Armand.
La Mano Negra, anarchisme rural, sociétés clandestines et répression en Andalousie (1870-1888) de Clara E. Lida.
A couteaux tirés avec l’existant, ses défenseurs et ses faux critiques.
Os Cangaceiros.
Petite éloge de l’anarchisme de James C. Scott.
Un monde complètement surréel de Noam Chomsky.
Libres. De quelle liberté? Réfractions n°27 recherches et expressions anarchistes.
L’homme révolté d’Albert Camus.
A l’ouest rien de nouveau d’Erich Maria-Remarque.
Abrégé du Capital de Karl Marx de Carlo Cafiero, éd. Le Chien Rouge.
L’ABC du libertaire de Jules Lermina.
SIC n°1, Revue internationale pour la communisation.
2 exemplaires de Théorie Communiste (n°23 et n°24)
De la politique en Iran de Théo Cosme.
Le démocratisme radical de Roland Simon.
Discours de la servitude volontaire d’Etienne de la Boétie.
« Je lutte des classes » Le mouvement contre la réforme des retraites, automne 2010, de Louis Martin.
Pour les bouquins, passez au Caracole à l’une de nos activités ou contactez nous au 0490/39.77.23. A toute !
Nouvelles expulsions illégales à Calais
De http://calaismigrantsolidarity.wordpress.com/
Alors que Natacha Bouchart, sénatrice-maire de Calais a présenté la semaine dernière une nouvelle loi anti-squat au sénat, les expulsions illégales se poursuivent à Calais.
Une nouvelle maison avait été ouverte à calais le week-end du 31 mai au 1 juin. Après une semaine sans s’être fait remarquée (pour éviter une expulsion sans procès, possible dans les premières 48 h), L’occupation est rendue publique le dimanche 8 juin (bien qu’une information confuse annonçant « une ouverture prochaine » ait été publiée sur le site internet de la « Voix du Nord » le samedi 7 juin), les premiers contacts se font avec les passantEs, les voisinEs et les clientEs du bar tabac d’en face. CertainEs d’entre ELLeux considèrent que l’occupation de cette maison vide, depuis plus de trois ans, est tout à fait légitime. Une autre maison est occupée dans la rue une cinquantaine de mètres plus loin (expulsable depuis le 30 mai).
Ce même jour, vers 11h, la police passe une première fois accompagnée d’une personne de l’O.P.H (Office Public de l’Habitat) de calais qui tente d’ouvrir la porte. Après mures réflexions et de nombreux tours de clés dans le vide, ce dernier en conclue que cette maison ne leur appartient pas. La police refuse alors de prendre les preuves d’occupation qui lui sont présentées (attestation de justice, photos, captures d’écrans) réunis d’une part dans un courrier cacheté et fermé (pris en charge par la poste le 2 juin ) et d’autre part en un ensemble de feuilles consultables séparément. Une journaliste, présente sur place en prends connaissance. Elle interrogera plus tard la maire qui dira vouloir déposer une plainte et envoyer une commission de sécurité le mardi suivant, pour voir si les lieux pourraient accueillir du public.
Lundi 9 juin, des chaises, matelas et autres meubles sont amenéEs au 86 rue Massena pour aménager un espace plus confortable.
Mais à 18h, c’est une demi compagnie de CRS qui se présente avec le propriétaire. A grand coup de bélier, les CRS détruisent la porte d’entrée, sur laquelle les policiers n’avaient pas trouver la moindre trace d’effraction jusque là, sans même demander si les occupantEs veulent ouvrir et/ou sortir. Les quatre personnes présentes dans le maison sont interpellées, menottées puis embarquées . Les flics légitiment leur opération via le témoignage d’un voisin ( « ami du propriétaire » selon ses propres mots) qui affirme que le logement était vide le dimanche 8 juin à 5 heure du matin. Les habitantEs dormaient dans la maison à cette heure.
Que faire d’attestations de justice, du témoignage des autres voisins, si la seule parole d’un « ami » du propriétaire qui affirme que l’habitation est vide justifie une expulsion….
Trente minutes après l’évacuation, les services de la ville sont déjà là pour « sécuriser » la maison. La police, après avoir affirmée aux personnes présentes en soutiens que les affaires à l’intérieur pourraient être récupérer, les en empêche. Elle se retrouveront enfermées à l’intérieur par les services municipaux de Calais. Ici, on te met à la rue mais sans ton duvet.
La garde à vue ne sera notifiée qu’une fois que les quatre personnes interpellées seront entrées dans les cellules. Une personne sera privée d’eau et de couverture tout au long de sa détention (20 heures) et une autre devra attendre plusieurs heures pour récupérer son inhalateur alors qu’elle est asthmatique.
La garde à vue est une grande série de cafouillages, de vice de procédure…
Pour toutes personnes ayant besoin d’un toit, Calais reste une zone de non droit, ou plutôt une zone où le droit se manipule, s’étire au bon vouloir et aux services des représentantEs politiques.
D’ailleurs si ce cadre légal était respecté dans un but de justice (aveuglante illusion), comment expliquer que le délit de dégradation en réunion, qui justifiait pourtant le placement en garde à vue, disparaisse et ne laisse place (à la sortie de gav) qu’aux refus de soumission de prélèvement ADN et empreintes digitales ? Peut-être peut-on y voir un terrain propice pour constituer une défense avec des avocatEs rompuEs aux coups bas des manipulations politico-policières.…
On est pas les plus à plaindre, mais cela paraît tout de même important de visibiliser cette histoire. Comme d’autres, ne vous fait-elle pas remonter ce goût amer et de plus en plus impossible à avaler d’une démocratie échouée qui n’à plus pour plaire que matraques, arrogance et autres « cadres légaux » de plus en plus insoutenables…il est toujours temps de vomir.
Des quatre personnes arrêtées deux comparaîtront sous leur identités le 22 juillet prochain au TGI de Boulogne-sur-mer pour refus de soumission au prélèvement D’ADN et d’empreintes digitales. Les deux autres personnes enregistrées sous X comparaîtront pour les mêmes motifs.
Un logement pour toutes et tous !
Source : http://calaismigrantsolidarity.wordpress.com/category/nouvelles-francais/
http://calaismigrantsolidarity.wordpress.com/
JUSTICE DE CLASSE, JUSTICE DE FARCES !
SOLIDARITÉ AVEC LES SQUATTEURS ET LES MIGRANTS DE CALAIS !
Lettre aux voisins
Chères voisines, chères voisins,
Il est parvenu à nos oreilles qu’une pétition se plaignant de notre maison circulait dans le quartier. Malheureusement nous ne l’avons pas vu de nos propres yeux, il serait question dans cette dernière de nuisances sonores ainsi que de déchets et autres encombrants aux abords de notre habitation. Il est vrai que nous n’avons pas été des plus rapide pour évacuer les tonnes de déchets, issu de nettoyage et des travaux dans notre maison, entreposé dans le jardin. Nous sommes par contre fort étonné en ce qui concerne les nuisances sonores, étant donné que personne n’est jamais venu nous en parler. Pourtant nous sommes ouvert aux dialogues contrairement aux inconnus qui ont tenté d’incendier la maison pendant notre sommeil à la mi mars. C’est pourquoi à l’avenir nous vous invitons en cas de désaccord à venir nous en parler directement, nous envoyer un email
( caracole-neur@riseup.net ) ou encore nous téléphoner au 0490/39.77.23. N’hésitez pas non plus à venir nous rendre visite par curiosité, pour jouer une partie d’échec, manger un petit plat, boire le thé, regarder un film , etc.
Pour une solidarité de quartier,
Bien à vous,
Les habitants du Caracole Neur, 260 chaussée de Louvain.
Soirée frites et bières de pissenlits
Nous vous invitons à goûter la bonne bière de pissenlits et les bonnes frites du Caracole-neur au 260 chaussée de louvain à Bouge (Namur) le samedi 31 mai à partir de 19h! Surprises à venir…
N’hésiter pas à amener vos instruments!
Projection: Ne vivons plus comme des esclaves
Nous vous invitons le mercredi 4 juin à 20h30 au Caracole-neur 260 chaussée de louvain à la projection de « Ne vivons plus comme des esclaves ».
« Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na min zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée. »